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Calculer son qi facilement

Comment calculer son qi facilement

L’intelligence, ou QI, est quantifiée par un test psychométrique qui doit fournir une définition quantitative standardisée de l’esprit humain.

Le QI est mesuré par un psychologue pour des raisons éducatives ou psychiatriques. Toutefois, comme les notions liées à une déficience intellectuelle ou à un enfant avec un haut potentiel intellectuel, le QI n’est pas synonyme de diagnostic. Le QI est généralement pris en charge dans le cadre d’un examen psychologique plus complet. Néanmoins vous pouvez calculer facilement votre QI en ligne.

La notion d’un QI a connu de nombreuses critiques méthodologiques et psychométriques, ou théoriques (discussions sur la nature de l’intelligence), au début du xx e siècle pour dépister les élèves en difficulté et leur assurer un soutien. La notion d’un QI a fait l’objet de nombreuses réactions.

Calcul rapide du quotient intellectuel

QI d’après Binet

Le calcul du quotient intellectuel est une idée de William Stern, psychologue allemand. La première échelle mesurant l’intelligence a été publiée en 1905 par Alfred Binet et Théodore Simon, ou test de Binet et Simon, ou Échelle métrique de l’Intelligence d’Alfred Binet et Théodore Simon. Cette échelle donne lieu à la détermination du niveau mental de l’enfant. L’âge mental correspond au groupe d’âge dont les participants ont réussi les mêmes tests que la moyenne.

Le QI, ou le quotient intellectuel calculé par Stern (qui sera plus tard appelé « standard de QI ») est un ratio établi en comparant l’âge réel (chronologique) du jeune à son âge mental. Le QI multiplie le rapport entre l’âge mental et réel, divisé par 100. Par conséquent, dans le cas précédent, un enfant de 10 ans avec un âge mental de 12 ans obtient un QI de: ((12 / 10) ×100 = 120).

Conçu pour détecter et aider les enfants en difficulté, ce calcul n’est pas efficace pour évaluer un QI chez les adultes.

QI par comparaison

Les tests Wechsler utilisent un type d’étalonnage différent. Il représente le rang de la personne par rapport à une population appréhendée selon une loi normale (la courbe de Gauss). Les tests sont « étalonnés » lorsqu’ils sont créés pour que les résultats suivent une courbe de Gauss (dénommée courbe normale). L’étalonnage est mis à jour régulièrement.

La courbe de GaussNotes est étalonnée sur l’espérance le type et la distribution a priori associés aux contraintes en provenance du Bayesien (c’est-à-dire la seule n’incluant pas d’« information additionnelle ») figurent être la courbe de GaussNotes. C’est donc sur elle que le test sera étalonné. Tous les tests fixent la moyenne à 100. L’écart-type est généralement stabilisé à 15 (il s’agit alors de QI standard)

Certaines tests précédents aux Wechsler ont déterminé des écarts-types de 16 ou 24 (comme le Test Culture Fair Intelligence of Ray Cattell). Pour des raisons arbitraires et historiques, la moyenne du QI est fixée à 100. L’écart-type de 15 indique que 68% de la population se trouve à un écart-type du modèle, et que 95% de la population se situe entre deux écart-types

Examen psychologique pour calculer le QI

Un psychologue titulaire de diplômes est nécessaire pour mesurer le QI. Ses résultats sont mesurés au cours d’un examen psychologique qui peut avoir lieu en plusieurs sessions (la mesure proprement dite doit se dérouler, comme il se doit, en une seule session). Un ou des entretiens psychologiques constituent l’examen psychologique. Pour que les résultats soient valides, le psychologue est chargé de suivre les instructions du manuel.

L’histoire du test de QI

La fin du xixe siècle, ainsi que la psychologie scientifique, assiste les débuts. De nombreux chercheurs s’intéressent à la mesure de l’esprit. L’Anglais Sir Francis Galton, un cousin de Charles Darwin, qui négligera toutefois dans son ambition de mettre en place un test fiable.

Le terme « mental test » est employé pour la première fois par l’Américain McKeen Cattell en 1890 pour désigner une série d’examens destinés à mesurer les différences entre les personnes.

L’échelle d’intelligence a été publiée pour la première fois en 1905, et c’est le travail d’Alfred Binet et de Théodore Simon. Ils ont été chargés par le Conseil supérieur de l’éducation de France de créer un outil d’évaluation qui permettrait aux écoles d’identifier les élèves les plus susceptibles d’avoir des difficultés à apprendre les mathématiques à un jeune âge, afin de leur fournir une aide supplémentaire si nécessaire, avant que d’autres problèmes n’apparaissent.

Une attitude bienveillante permet de structurer les enfants qui ont des difficultés à se concentrer ou à comprendre des concepts difficiles sans craindre d’être ridiculisés par leurs pairs parce qu’ils semblent « idiots » aux tests ou d’être grondés par les enseignants parce qu’ils ne font pas assez d’efforts alors qu’il y a clairement quelque chose qui ne va pas ici !

Quotient intellectuel selon Stern

En 1912, à l’université de Breslau en Allemagne, William Stern a eu une idée qui allait changer notre compréhension de l’intelligence. Il a créé le « quotient intellectuel » qui est maintenant utilisé comme un instrument de mesure pour déterminer les aptitudes ou les troubles mentaux, entre autres choses !

Quotient intellectuel selon Wechsler

Le calcul du QI tel que proposé par Stern présente plusieurs problèmes statistiques. L’un des principaux problèmes est qu’il n’est pas applicable aux adultes et qu’il ne permet pas de prédire correctement l’intelligence socio-émotionnelle

Sortie : L’idée de mesurer l’intelligence à l’aide d’un algorithme n’est pas nouvelle, mais récemment, de nombreuses études ont été réalisées sur le sujet et ont mis en évidence de graves lacunes dans sa conception – principalement parce que ce test ne peut pas être administré de manière équitable après l’âge de 18 ou 21 ans, lorsqu’une personne peut déjà connaître son score sans que personne d’autre ne sache combien d’efforts ont été déployés pour étudier pour de telles évaluations (Sternberg 1996).

Quand le psychologue américain David Wechsler publie un nouveau test de QI en 1939, il conservera la notion de quotient intellectuel mais appliquera une mesure qui est tout à fait différente de celle qu’il applique non seulement à l’échelle entière mais aussi aux sous-tests de son échelle. Cette façon d’opérée est restée inchangée dans les batteries de tests publiées par Wechsler ultérieurement (Wechsler Adult Intelligence Scale et WISC).

Le test de QI de Wechsler est une mesure de l’intelligence très prisée. Le concept lui-même existe depuis 1920, mais la formule utilisée pour arriver à ce quotient était basée sur une division mathématique qui n’a pas bien résisté devant les tribunaux parce qu’elle n’était pas juste pour les personnes qui faisaient mieux les maths que les autres ou qui avaient une meilleure mémoire (ou les deux). Nous ne détaillerons pas ici comment ils sont arrivés à leur méthode actuelle – vous pouvez lire tout cela ailleurs ! Mais ce qui reste aujourd’hui, ce sont des calculs effectués par d’autres moyens que les simples mathématiques. Il n’y a donc aucune raison de ne pas les qualifier d' »intelligents » selon la définition de votre choix – même si la vôtre n’implique pas de chiffres.

La contre argumentation de Thurstone

En 1939, le psychologue américain Louis Leon Thurstone a contesté la théorie du facteur g de Spearman en mettant en évidence sept facteurs principaux qui font partie d’une multitude d’aptitudes individuelles : la représentation spatiale (représenter des configurations), la conscience perceptive (saisir les détails d’une configuration), la compréhension verbale (comprendre ce que l’on lit ou entend), la mobilisation lexicale (être capable d’utiliser le vocabulaire de manière appropriée). Capacité de mémorisation-, performances numériques telles que l’exécution correcte de calculs) et capacités de raisonnement nécessaires pour définir les liens entre les éléments). L’étude de l’intelligence par Thurstone a révélé que ces sept facteurs étaient orthogonaux entre eux, ce qui signifie qu’ils représentent le même nombre de types. Cela rendrait impossible tout facteur général comme le g ou les tests de QI puisqu’il n’y a aucun moyen de quantifier quelque chose sans y associer une valeur quelconque (ou une échelle) ; ce qui signifie que si l’on trouvait une personne ayant des scores élevés dans les 7 domaines, elle pourrait simplement être considérée comme un individu « exceptionnel » plutôt que ce que nous connaissons aujourd’hui comme « normal ».

Facteur g selon Spearman

La notion de facteur g, mise en évidence par Spearman, et la notion d’aptitudes cognitives spécifiques ont fait l’objet de nombreuses études. Les tests d’intelligence se sont multipliés avec les avancées technologiques pour permettre des modèles plus précis qui concilient ces deux théories. La théorie de Cattell-Horn -Carroll prévaut actuellement car elle est reconnue dans de nombreuses études aujourd’hui en raison de sa large acceptation par les psychologues du monde entier

L’importance ici serait de comprendre comment l’intelligence peut se manifester différemment selon la tâche particulière qui est entreprise.

Pouvoir prédictif du Q.I. dans la réussite scolaire

Le QI est le meilleur prédicteur statistique de la réussite ou de l’échec scolaire chez les enfants et les adolescents. Son pouvoir prédictif se situe entre des niveaux modérés (0,50) et faibles, d’autres facteurs jouant des rôles divers, notamment la réussite scolaire.

Dans une étude, les chercheurs ont examiné 417 élèves de la première à la sixième année qui ont passé un test d’intelligence ainsi que des mesures évaluant leurs aptitudes sociales, telles que des commentaires désinvoltes faits au cours de discussions de groupe sur un sujet présenté par des experts ; des relations significatives ont été trouvées lorsqu’ils ont comparé ceux qui ont obtenu les meilleurs résultats pour chaque type – l’aptitude verbale a été corrélée à 0,67

La motivation, l’effort et la volonté de réussir sont les clés de la réussite scolaire. Les facteurs non cognitifs comme l’autodiscipline jouent également un rôle dans les résultats ultérieurs de la vie professionnelle et personnelle

Les meilleures prédictions de la performance au travail et de la réussite socio-professionnelle sont également les QI, ainsi que des outils analogues de mesure de g.

Certaines recherches ont même démontré un lien inverse entre le QI et la crimété, ainsi que des comportements antisociaux et punitifs.

La santé est corrélée négativement avec le QI.

Le QI est corrélé négativement avec la religiosité. Cette corrélation peut être attribuée au fait que les personnes à QI élevé sont moins susceptibles que celles à QI faible de croire en Dieu ou en toute autre force surnaturelle. Les raisons de cette association ne sont pas claires, bien que l’analyse d’études antérieures montre un modèle intéressant – ceux qui ont des scores totaux de quotient intellectuel plus élevés ont tendance non seulement à montrer une meilleure fonction cognitive, mais aussi à démontrer plus de traits autistiques.

Baisse du q.I.

Selon des chercheurs norvégiens dont l’étude a été publiée lundi 11 juin 2018 dans la revue américaine PNAS, les capacités cognitives diminueraient chez les générations suivantes. L’explication la plus probable, selon les auteurs, serait un environnement culturel moins favorable pour les plus jeunes.

Un score de six points au Peabody Individual Achievement Tests-Third Edition (PIAT-III) est défini comme « très supérieur » ou « exceptionnellement supérieur » Le quotient intellectuel (QI) est un nombre qui indique la capacité intellectuelle d’une personne. Si la moyenne du QI de la population globale était de 100, les personnes ayant un QI de 135 ou de

Après des centaines d’années d’amélioration de l’intelligence, on peut observer une tendance à la baisse, également connue sous le nom de « réversion de l’effet Flynn »

L' »effet Flynn » est le nom donné à une augmentation apparente de l’intelligence qui a été observée tout au long de l’histoire par le psychologue James Flynn. L’effet Flynn, qui a été avancé par le psychologue James Flynn, montre que l’augmentation de l’intelligence de l’humanité s’est arrêtée à notre époque ou qu’un déclin a commencé. Pour étudier ce phénomène, les chercheurs ont étudié de jeunes hommes norvégiens.L’objectif de l’étude norvégienne est de comparer le QI de vrais jumeaux, c’est-à-dire de personnes issues d’un milieu social similaire et ayant des gènes comparables. En effet, deux grandes théories pour expliquer l’effet Flynn intègrent la fécondité dysgénique (la notion selon laquelle les femmes ayant un faible QI ont plus de progénitures ayant un intellect inférieur que les femmes ayant un QI élevé) et le contact avec les

Les Quotient intellectuel des Norvégiens a grimpé de 3 points entre 1962 et 1975 pour les reperdre en totalité entre 1975 et 1991

À 736 808 reprises, les auteurs ont vérifié que l’effet Flynn s’était inversé. Le QI de ces frères a augmenté de 0,20 point chaque année entre la cohorte de 1962 (QI de 99,2 en moyenne) et celle de 1975 (102,3). Il a ensuite baissé de 0 en moyenne chaque année entre la cohorte de 1991 et celle de 2005 (99,4). Les chercheurs ont découvert le même schéma en examinant les années d’études plutôt que les QI, car les scores d’aptitude n’étaient pas disponibles pour les femmes. Les auteurs proposent plusieurs réponses possibles, notamment « des changements dans l’exposition ou la qualité de l’éducation, l’évolution de l’exposition aux médias, la détérioration de la nutrition ou de la santé, et les conséquences sociales d’une immigration accrue. » L’article fournit peu d’informations sur les causes non sociologiques et non génétiques qui ne sont pas abordées dans l’essai et qui devraient faire l’objet d’une enquête plus approfondie : nous savons que l’espérance de vie n’a cessé de croître et que la qualité de l’éducation est une notion amorphe. Quant à l’immigration, étant donné qu’aucun immigrant n’a été étudié, on peut se demander quel impact ils auraient sur les résultats. « Bien que nos résultats suggèrent que les influences environnementales et leur influence diffèrent selon les familles, nous ne sommes pas en mesure d’identifier la structure causale sous-jacente des effets environnementaux », résument les chercheurs.

QI n’indique pas nécessairement le vrai niveau de l’intelligence

La créativité, ou l’originalité des idées d’une personne, est également un indicateur clé de la réalisation de soi. Selon les chercheurs, psychologues, d’une étude américaine publiée en 2017, « les génies reconnus n’ont pas forcément un QI élevé.  » Ainsi, selon Todd Lubart, psychologue à l’Université de Paris-Desc

En outre, les tests de QI doivent être mis en perspective. En 2005, alarmés par les « dérives » qu’ils constatent chez les familles qui s’empressent de classer leurs enfants en fonction de leur QI, des psychologues déclarent : « Il serait absurde de prétendre qu’une personne ayant un QI de 120 est « deux fois » plus intelligente qu’une personne ayant un QI de 60. Enfin, ce score « n’a pas de signification en soi » car il doit ensuite être comparé aux autres informations fournies lors d’une évaluation psychologique approfondie (observations qualitatives et cliniques, situation familiale de l’enfant, vie culturelle et éducative, études complémentaires, fonctionnement de la personnalité, etc.)

De multiples raisons à la baisse du QI

Est-ce la faute des écoles ou des médias ? Est-ce la faute de la télévision et des autres formes de divertissement ? Est-ce dû à l’immigration ? Est-ce à cause d’une mauvaise alimentation ? Du déclin des idéaux éducatifs ? Du fait que les personnes de QI inférieur ont plus d’enfants, ce qui entraînerait une sélection naturelle à l’envers ? Ces hypothèses ont toutes été avancées, mais le professeur Larivée estime que notre détérioration intellectuelle collective est multifactorielle. Le documentaire Demain, tous crétins ? attribue la cause de notre déchéance aux perturbateurs endocriniens présents dans les pesticides, les cosmétiques et les médicaments. »C’est une hypothèse assez solide », convient Larivée, qui défend également le test de QI malgré sa mauvaise réputation. « Le « test de QI » est l’un des tests les plus fiables en psychologie », ajoute Larivée. Si quelqu’un me dit que les QI sont culturellement biaisés, je lui offre un repas gratuit s’il peut m’apporter ne serait-ce qu’un seul.

La baisse d’intelligence même parmis les privélégiés

Des chercheurs norvégiens ont publié lundi un article dans Proceedings of the National Academy of Sciences qui révèle que l’étourderie ne se limite pas à la société dans son ensemble, mais se manifeste également au sein des familles au fil du temps. Ils ont découvert cette tendance en examinant les statistiques de la conscription militaire de 1962 à 1991. La baisse du QI chez les hommes norvégiens a commencé dès 1975. Selon les auteurs, le fait que la baisse se produise au sein d’une même famille exclut plusieurs théories, comme celle de l’immigration (certains experts ont suggéré qu’une baisse générale du QI est due aux immigrants provenant de pays où les scores intellectuels moyens sont plus faibles en raison du système éducatif, par exemple). Les auteurs rejettent également l’explication de « l’évolution inverse » selon laquelle les personnes ayant un QI plus faible ont plus d’enfants, augmentant ainsi le pool de faibles intellects par le biais de facteurs génétiques. « Cela n’annule pas complètement cette hypothèse, mais cela la tempère. En général, il est admis que les personnes moins intelligentes ont plus d’enfants. J’en ai quatre, par exemple »

Baisse du niveau scolaire pour expliquer une baisse cognitive

Selon les chercheurs, cette chute peut être attribuée à la baisse de qualité du système scolaire, à une éducation à la maison moins rigoureuse ou à des questions de santé (aliments moins nutritifs, moins d’exercice et exposition aux polluants). « Je commencerais par examiner l’éducation puisqu’il existe de nombreuses preuves que la scolarisation à grande échelle a une influence causale sur le QI d’une population », Ole Rogeberg. Selon Rogeberg, il s’agit toutefois d’une « intuition personnelle » Selon Serge Larivée, l’école est également le premier facteur qu’il mentionne comme cause du déclin de notre intelligence sociale. « L’excuse selon laquelle l’échec favorise la diminution de l’estime de soi n’est plus acceptée. C’est ridicule », ajoute-t-il.

La richesse comme lien avec l’intelligence

Selon Serge Larivée, il existe une théorie qu’il considère comme « extrêmement dangereuse » selon laquelle l’écart de QI se creuse entre les personnes ayant grandi dans des circonstances favorables et celles qui ne l’ont pas fait. Cela pourrait expliquer pourquoi plusieurs nations occidentales ont connu une baisse généralisée de leur intelligence. « Ce n’est pas quelque chose que je veux. Cela donnerait du pouvoir à tous les despotes de la Terre.

Les pesticides à l’origine de la diminution du QI

Le chlorpyrifos, un insecticide et acaricide utilisé sur les cultures, le bétail et les pelouses, peut être trouvé dans presque toutes les plantes ou animaux comestibles. Il est même présent dans l’urine des nourrissons et dans le cordon ombilical des futures mamans.

Ce produit chimique a été conçu pour remplacer le DDT mortel en 1965, et il a des effets néfastes sur le développement neurologique des enfants qui « semblent être permanents, irréversibles et à vie »

L’Académie américaine de pédiatrie, qui milite depuis 2012 pour l’interdiction de ce pesticide, a publié en mars une déclaration exhortant les 50 États à l’interdire. Selon l’organisation HEAL, les enfants qui sont exposés au chlorpyrifos dans l’utérus ou au début de leur vie peuvent développer des problèmes de développement neurologique plus tard dans la vie – entraînant des modifications structurelles du cerveau

Le pesticide chlorpyrifos ne répond pas aux critères requis par la législation européenne pour son renouvellement en tant que produit chimique approuvé dans l’Union européenne, selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) en août 2019. Il est prévu qu’il soit interdit dans toute l’Europe d’ici 2020 à la suite de ce constat.

Le cannabis a un impact sur les fonctions cognitives

On ne sait toujours pas si le cannabis a un impact négatif sur le cerveau en général, et surtout lorsqu’il est utilisé fréquemment. En outre, l’usage généralisé du cannabis en Occident, dont les effets sur le cerveau restent à prouver, fait débat. Selon certaines recherches, la consommation régulière et excessive de cannabis pourrait réduire le QI de 8 points.

Les causes génétique et sociologique

Selon une recherche génétique islandaise publiée dans la revue PNAS en 2016, on peut supposer qu’un facteur démographique est à l’origine du déclin du QI moyen occidental. Cette hypothèse repose sur le fait que, parmi les personnes ayant un QI élevé, la propension à procréer serait plus faible en raison d’une longue participation aux études supérieures. Par conséquent, ces personnes seraient sous

L’Asie a les élèves au plus haut QI

Selon les recherches du Britannique Richard Lynn, professeur émérite de psychologie à l’Université d’Ulster (Irlande du Nord) et du Finlandais Tatu Vanhanen, professeur émérite de sciences politiques à l’Université de Tampere (Finlande), plus de 80 pays ont été classés en fonction de leur QI moyen entre 2002 et 2006[1]. Voici les résultats

Autre point de vue: Sommes-nous plus bêtes qu’avant ?

Non, nous ne sommes pas plus stupides que nous l’étions auparavant. En fait, nous sommes peut-être plus sages que nous l’étions auparavant.

Peut-on quantifier l’intelligence ?

Il existe un concept scientifique connu sous le nom d’intelligence générale, qui se définit comme la capacité à raisonner de manière logique et abstraite. Ce concept est basé sur l’administration d’une batterie de tests multiples pour évaluer toutes nos capacités intellectuelles, puis sur la moyenne des résultats. Après avoir calculé cette moyenne des scores, on essaie de la rapporter à la population d’un pays afin qu’elle. Ces scores sont comparables d’une génération à l’autre, et nous pouvons maintenant le faire pendant plus d’un siècle. Nous avons vu que ces scores de QI se sont considérablement améliorés au cours du siècle dernier. Si nous utilisons le QI moyen d’aujourd’hui pour le comparer à celui d’une personne brillante d’il y a un siècle, il serait équivalent à celui d’un individu exceptionnellement doué d’aujourd’hui.

Quelles sont les raisons de cette progression ?

Une meilleure nutrition et une meilleure santé ne sont que quelques facteurs qui peuvent y contribuer. La croissance du cerveau de l’enfant est influencée par ces deux variables. En outre, l’amélioration de l’éducation de tous les enfants qui vont à l’école, ainsi que le fait qu’ils y vont tôt et y restent plus longtemps qu’auparavant, indiquent que leur cadre familial et social s’est considérablement amélioré.

Les jeunes sont-ils plus bêtes qu’avant ?

C’est très probablement le résultat d’un biais cognitif. Il était autrefois très apprécié d’avoir beaucoup de connaissances factuelles, comme connaître tous les départements et leurs capitales, comprendre toutes les dates de l’histoire, etc. Ce type d’informations est beaucoup moins important aujourd’hui. Cependant, les jeunes d’aujourd’hui ont acquis de nombreux talents que les générations précédentes ne possédaient pas. L’idée que vous êtes un expert dans l’utilisation d’instruments technologiques compliqués, dans la navigation sur le Web, etc. Ce sont tous des talents qui paraissent simples aujourd’hui mais qui ne nous sont pas apparus évidents parce qu’ils ont été cultivés dans une atmosphère qui les favorise.

Le niveau du bac s’est tout de même effondré…

Oui, il est vrai que le niveau de certains examens comme le baccalauréat, par exemple, a diminué au cours des 30 dernières années. Il suffit de regarder les cours pour s’en rendre compte. Néanmoins, il faut considérer que cela ne représente pas une baisse typique de l’ensemble de la population. Aujourd’hui, 80 % d’une génération obtient son

Le Q.I. est-il destiné à s’améliorer ?

Cependant, lorsque nous adoptons une vision plus large et que nous considérons le monde entier, il n’y a pas de tendance à la baisse. Ce que nous observons, c’est un ralentissement de l’augmentation des résultats des tests de QI au cours des deux ou trois dernières décennies. Étant donné que nous sommes limités par notre corps, notre cerveau de 100 milliards de neurones et d’autres facteurs tels que le vieillissement et la maladie, c’était tout à fait prévisible. Il en va de même pour l’espérance de vie : elle a beaucoup augmenté au fil du temps, mais nous ne vivrons pas jusqu’à 200 ans.

Le déficit d’attention est-il en hausse ?

Il est difficile de déterminer si notre attention s’est relâchée. Ce qui est certain, c’est que notre environnement est différent ; il y a beaucoup plus d’attraits externes qui se disputent notre attention, ce qui rend plus difficile de rester concentré pendant une demi-heure en lisant un livre, puisqu’il y a toujours un SMS ou un téléphone qui sonne. Nous devenons esclaves de nos gadgets qui nous appellent constamment, et nous devons être capables d’en garder le contrôle afin de savoir comment éteindre le téléphone lorsque nous voulons nous concentrer sur une tâche pendant 20 minutes.

La pollution tue l’intelligence ?

Certaines personnes ont pris au sérieux les résultats de quelques études montrant une tendance à la baisse des scores de QI, et ont immédiatement produit des théories telles que l’exposition aux perturbateurs endocriniens, aux pesticides, ou l’impact des écrans. La baisse de l’intelligence devrait déjà être démontrée ; elle ne l’est pas. Même dans les pays où cela a été prouvé, comme le Mexique, où la population est minuscule et l’activité agricole faible, ceux-ci sont bien moins exposés aux pesticides que les Américains ou les Chinois dont les scores de QI ne cessent d’augmenter. Les explications proposées jusqu’à présent pour expliquer cette éventuelle baisse du QI ne semblent pas convaincantes.

la dyscalculie chez l’enfant: trouble du calcul

La dyscalculie est un trouble d’apprentissage affectant le domaine de la numératie : comprendre, utiliser, interpréter ou communiquer avec des nombres. Comme elle englobe un large éventail de capacités, la dyscalculie peut se manifester de nombreuses façons.

La dyscalculie est un trouble spécifique de l’apprentissage. Elle affecte tout le monde d’une manière ou d’une autre au cours de sa vie. En revanche, ses symptômes et la manière dont elle influence la vie des gens peuvent être très différents. Les dyscalculiques disposent tout de même de capacités cognitives sur lesquelles ils peuvent s’appuyer pour concevoir des méthodes de travail permettant de compenser leurs lacunes, notamment en ce qui concerne les compétences linguistiques.

Les enfants atteints de dyscalculie peuvent présenter plusieurs problèmes au fil du temps, et les adolescents peuvent avoir du mal à terminer leur programme scolaire normal en mathématiques. Bien sûr, cela sera déterminé par le profil cognitif de l’individu, mais aussi par les traitements et la rééducation reçus.

Les signes d’une dyscalculie

La dyscalculie se manifeste de diverses manières. Les personnes atteintes de dyscalculie présentent fréquemment des symptômes divers à différents âges. Selon l’existence ou non d’un trouble de l’attention, ainsi que d’autres facteurs, l’impact de ces variations et le pronostic varieront.

La dyscalculie touche les enfants de l’école primaire, les adolescents et les adultes qui ne sont pas tout à fait à l’aise lorsque la compréhension de leur environnement repose sur le résultat de calculs spécifiques (faire les courses ou établir un budget, dire l’heure ou prévoir l’heure de départ en fonction du temps de trajet, cuisiner).

Les symptômes d’une dyscalculie :

  • Les difficultés à compter et à dénombrer :
  • Besoin d’objets pour apprendre à compter, manque d’abstraction
  • Difficulté à lire les nombres, et inversement des chiffres.
  • Incapacité à additionner ou soustraire.
  • Méconnaissance des tables de multiplication.
  • Difficulté à comprendre le vocabulaire mathématique (la différence, la somme, la quantité, la multiplication, plus que, moins que, la division,deux fois plus que, etc.).
  • Non-compréhension des énoncés mathématiques.
  • Difficulté à se repérer dans l’espace

Traitement de la dyscalculie

Malgré le fait que le TDAH soit un trouble qui dure toute la vie, il est essentiel de fournir à l’étudiant qui en souffre une rééducation qui l’aidera à évoluer, à s’équiper et à compenser ses difficultés pendant son voyage pour réaliser son plein potentiel et optimiser son fonctionnement quotidien.

La réadaptation sera orientée en fonction des besoins et des caractéristiques de la personne, déterminés lors de l’évaluation, une fois le diagnostic posé et la nature du problème expliquée. Il est généralement suggéré que chaque enfant bénéficie d’un suivi individuel avec un professeur de remédiation. Le professeur de rattrapage peut revoir avec l’enfant les bases de l’arithmétique, le sens des nombres et le langage mathématique. En fonction de son niveau scolaire, des concepts qu’il a maîtrisés par rapport à ceux qu’il n’a pas maîtrisés et de ses besoins, la rééducation sera poursuivie au niveau qu’il a atteint en mathématiques et qui en a besoin. La méthodologie des mathématiques sera enseignée dans sa forme la plus élémentaire, ce qui permettra à l’élève d’acquérir des compétences qu’il pourra utiliser à l’avenir. nPour soutenir cet objectif, nous tenterons de doter l’élève de capacités qui lui permettront de fonctionner de manière autonome dans les tâches académiques et quotidiennes où l’arithmétique est requise (gestion de l’argent, utilisation d’une calculatrice, calcul des délais, etc.)

D’autres professionnels de la santé peuvent être appelés en renfort si nécessaire (ergothérapeutes, psychopédagogues, etc.). L’évaluation neuropsychologique permet d’identifier.

Prévention et comment éviter l’installation de la dyscalculie

Il est impossible de prévenir la dyscalculie. Cependant, il est essentiel de la détecter tôt afin de la traiter dans les meilleurs délais. Si elle n’est pas traitée pendant l’enfance, la dyscalculie peut devenir un handicap important à l’âge adulte. Dès l’âge de 2 ans

Témoignages d’enfants dyscalculiques:

Témoignage de Marc, enfant dyscalculique

J’ai 17 ans et je suis en deuxième année de lycée. Je crois que je suis Dyscalculique parce que mon enseignante de première année m’a contrarié lorsque je ne comprenais pas les bases de l’arithmétique, elle se disputait avec moi tout le temps et a fini par me mettre de côté. Depuis lors, je compte discrètement sur mes doigts. J’ai du mal à me souvenir des tables, en particulier des multiplications. Je ne sais pas pourquoi il m’est si difficile de me les rappeler. Maintenant que l’on attend de moi que je calcule devant tout le monde en classe, je suis submergé et stressé, ce qui m’empêche de me concentrer sur la question. Maintenant, je dois travailler pour gagner mon argent de poche, et je vais travailler dans un restaurant où il faudra faire la caisse et la cuisine. et il y a un autre problème : J’ai découvert que j’ai une phobie de l’argent, le rendre est difficile pour moi… extrêmement embarrassant devant les clients. Je ne sais pas comment je vais m’y prendre. par conséquent, soutenir ces personnes en leur fournissant une rééducation… me semble judicieux car, comme vous pouvez le constater, nous manquons actuellement de soutien adéquat. Je voudrais être un programmeur informatique, et cela peut vous surprendre. Cependant, l’utilisation de la logique et des mathématiques commence à me sembler de plus en plus improbable. Désolé pour les nombreuses fautes d’orthographe ; je voulais simplement faire part de mes réflexions.

Témoignage de Zoé, adulte dyscalculique

J’ai 26 ans et j’ai été dyslexique toute ma vie. J’ai eu du mal à le supporter pendant toute ma scolarité. Mon professeur de maternelle me considérait comme un fainéant, alors que mes parents m’obligeaient à faire mes devoirs. Je ne savais pas bien lire. Du coup, ma mère a décidé de m’emmener chez un orthophoniste. Au début des années 1970, lorsque j’étais en sixième année, mon professeur de français m’a prédit que je n’accomplirais jamais rien. J’ai tout de même réussi à obtenir un diplôme d’infirmière et peut-être un jour à devenir puéricultrice. Pour revenir à la dyscalculie, je ne savais pas ce que cela signifiait jusqu’à ce qu’un étudiant de l’université me demande si j’étais dyslexique. En effet, la dyslexie et la dyscalculie sont fréquemment associées. Elle m’a pris pour un patient souffrant de douleurs chroniques. Lorsque je calculais des doses de médicaments pour une seringue électrique, elle a compris mon problème. Sa fille est également affligée, comme moi. Par conséquent, lorsqu’elle était à côté de moi en train de faire des calculs, elle a compris à quel point sa présence me dérangeait. Je me creusais la tête car je devais écrire mon problème sur papier et revérifier la calculatrice deux ou trois fois pour être sûr qu’il n’y avait pas d’erreur.C’était génial d’entendre ce qu’elle pensait du fait que sa fille devienne infirmière (humour) ! Et j’ai enfin pu comprendre pourquoi j’avais été si lent dans mes calculs. Pourquoi j’avais tant de mal à garder la trace de mes tables ? et, comme Marc, à mémoriser les multiplications par cœur. Ainsi, lorsque j’ai passé mes examens d’infirmière, j’ai dû tout réapprendre. J’étais devenue bonne en mathématiques mais l’utilisation d’une calculatrice me rendait lente.J’ai les mêmes difficultés depuis Marc pour la durée, pour rendre l’argent que j’ai toujours plus ou moins. Cependant, j’avais aussi des difficultés à me souvenir des dates. Le 25 décembre en est un excellent exemple, car malgré sa signification pour les enfants, je n’arrivais pas à m’en souvenir alors que c’est une date cruciale ! Comme mon orthophoniste des années 1980 ne devait pas comprendre ce symptôme, j’ai cherché à confirmer que je souffrais vraiment de dyscalculie.

Quelle part de la population est atteinte du trouble de la dyscalculie ?

La moins comprise des « DYS » (dyslexie, dyspraxie) est la dyscalculie. Ainsi, environ 5% de la population en France serait concernée par la dyscalculie, selon le numéro d’avril 2018 de Planète Santé. Entre 3 et 6 % des personnes atteintes de cette pathologie sont scolarisées.

Quelques grandes personnalités touchées par la Dyscalculie ?

La dyscalculie a touché certaines personnes bien connues du grand public :

  • Winston Churchill, Albert Einstein et Benjamin Franklin avaient tous quelque chose en commun : ils étaient d’excellents adultes malgré leurs handicaps. En fait, ces personnes ont été désignées comme faisant partie des personnes les plus influentes de l’histoire en raison des contributions qu’elles ont apportées à la société, même si de nombreuses personnes ont cru à un moment ou à un autre qu’elles n’étaient pas capables de faire face à un handicap (TDAH, dyslexie, dyscalculie) !

Le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) est un trouble courant qui affecte environ trois millions d’enfants aux États-Unis, représentant environ neuf pour cent de tous les cas de maladie mentale diagnostiqués selon le site Web de Mental Health America – TDAH est l’acronyme de Attention Deficit Hyperactivit yand DISC Delineation Profile . Le TDA, quant à lui, peut se présenter sous la forme d’un TDI – Déficit de description impulsive avec ou sans hyperactivité ; ce qui est très intéressant car cette personne célèbre a fait de ces faiblesses de la dyscalculie son cheval de bataille !

Le trouble de la dyscalculie dans un environnement professionnel

Les personnes atteintes de dyscalculie rencontrent souvent de nombreuses difficultés au travail, car cette maladie n’est pas bien comprise par les employeurs. Elles sont également sujettes aux mêmes préjugés que les personnes souffrant d’un handicap physique et peuvent être considérées comme moins compétentes ou moins efficaces que leurs pairs, mais ces troubles sont différents et l’un n’en impose pas un autre. Aujourd’hui, il existe une solution adaptée à cette condition qui aide à les intégrer dans la société tout en promouvant un environnement d’égalité des chances dans lequel tous les membres contribuent de manière égale au succès, qu’ils appartiennent à l’un ou l’autre camp : neurotypique (normal) contre handicapé/malade

De nos jours, nous avons trouvé des moyens très intelligents de contourner ces problèmes – comme les « solutions adaptatives » – et je vais maintenant vous parler de deux bons exemples tirés de mes propres recherches/

Les solutions pour accompagner les dyscalculiques au travail ?

En outre, il importe de savoir que le diagnostic neuropsychologique est établi en utilisant la CENOP, une analyse des troubles mathématiques. Ainsi, cela permet de déterminer le profil par rapport aux différentes anomalies et compétences préservées et d’already valid or non la présence of additional issues or deficits.

L’évaluation considère l’ensemble des fonctions intellectuelles (le potentiel intellectuel, le raisonnement visuospatial, logique et linguistique), tout en portant une attention spéciale aux capacités spécifiques et à l’étude des possibilités liées au domaine des mathématiques.

En milieu scolaire, les enfants diagnostiqués dyscalculiques peuvent bénéficier de mesures personnalisées adaptatives selon leurs forces et faiblesses. Cette évaluation pourrait permettre de mettre en place du temps supplémentaire, des accès à des lexiques, à la calculatrice, et du papier quadrillé pour réduire les problèmes d’alignement.Une fois le diagnostic et la nature du problème posés, l’accompagnement et la « rééducation » sont plus aisés à déterminer. Ainsi, un suivi individuel en orthopédagogie est fréquemment recommandé. L’orthopédagogue pourra aider l’enfant et l’adolescent à refaire le sens des nombres, du langage mathématique. Il tentera également de rendre la personne autonome dans les domaines où les maths sont sollicitées.

De plus, selon les besoins décrits par l’évaluation, l’intervention d’autres professionnels (ergothérapeutes, psychoéducateurs) est encouragée.

Comment travailler avec un employé atteint de discalculie ?

Il est important que le professionnel atteint de dyscalculie ne se sente pas mis à l’écart et qu’il puisse, en toute confiance, prendre plus de temps sur les chiffres. Il peut également déléguer ou demander de l’aide à ses collègues afin de ne pas se laisser déborder par les détails des tâches mathématiques qui ne l’intéressent pas. Si l’on se sent moins confiant, les médecins du travail peuvent également proposer leur aide ; aussi décourageant que cela puisse paraître à première vue, il y a toujours de l’espoir !

La dyscalculie à l’école: 10 conseils et aide pédagogique

1.Adopter un apprentissage explicite du savoir mathématiques

Les enfants dyscalculiques doivent bénéficier d’une instruction aussi claire que possible pour progresser et apprendre. L’enseignement explicite se décompose en 5 principes fondamentaux :

  • Eviter l’implicite, éviter les phases de recherche
  • Explication claire et directe
  • Une progression des petits pas
  • Vérifier que chaque notion est comprise avant de passer à la suivante
  • De nombreux exercices simples

2.Démontrer l’utilité d’une notion dans le monde réel

Donnez du sens à des exemples concrets pour aider les enfants dyscalculiques (et tous) à saisir que les nouvelles connaissances et compétences ont un intérêt beaucoup plus large.

3.Apprendre avec les 5 sens

L’une des meilleures façons d’apprendre les mathématiques est de jouer avec différentes approches et stratégies. Les jeux, les manipulations ou tout autre moyen aideront ceux qui ont des difficultés en mathématiques ; ils peuvent rendre les chiffres vivants !

Le calcul mental peut sembler intimidant au début, mais il n’a pas besoin d’instructions complexes. Tout ce que nous attendons des élèves dyscalculiques (y compris les dyslexiques), c’est qu’ils participent pleinement aux cours, ce qui nous permettra de mieux comprendre et de mémoriser ces compétences

Quelques exemples :

  • utilisation de batonnets, de cubes, de plaquettes

4.Apprendre en se basant sur du matériel concret

Un lieu peut être aménagé dans la classe (ou à la maison pour les devoirs) avec du matériel disponible : des sacs remplis de cailloux, des bâtons de chiffres et des perles de type Montessori. Quelques autres articles peuvent également apparaître, comme un boulier ou des allumettes, afin que les enfants aient quelque chose à travailler si nécessaire !

5.Revoir régulièrement les notions étudiées

L’approche en spirale de l’apprentissage est un excellent moyen de s’assurer que vous n’oubliez jamais ce qui a été appris. Vous devez passer en revue toutes les connaissances et compétences précédentes, avant de poursuivre vos études ou votre programme de formation avec le nouveau matériel introduit par l’instructeur/le formateur .

6.Apprendre par l’erreur

En tant qu’enseignant, vous savez que certains enfants sont plus difficiles à apprendre les mathématiques que d’autres. Corriger les erreurs avec ces élèves est bénéfique pour les deux parties – l’élève peut enfin comprendre pourquoi il a fait un calcul inexact et cette compréhension lui sera également utile pour ses calculs futurs ! Cela aide également l’éducateur à fournir une meilleure assistance s’il a accès aux erreurs passées qui offrent un contexte sur ce qui n’a pas fonctionné, de sorte que la prochaine fois qu’un problème se présente, il ne sortira pas de nulle part à nouveau

En tant qu’éducateurs, nous devrions toujours viser haut en faisant de notre mieux pour corriger tout type d’erreur commise par les enfants au cours de tâches de raisonnement mathématique, car cela nous permettrait de mieux comprendre comment les apprenants pensent visuellement 

7.Adapter la forme des documents

Les feuilles quadrillées aident les enfants dyscalculiques à se repérer dans l’espace, en particulier lorsqu’ils effectuent des opérations (on peut leur dire d’écrire un chiffre par case et rendre cette opération plus efficace en fournissant des repères visuels). La clarté d’un document fait toute la différence pour ceux qui ont des difficultés avec les chiffres. En fournissant des documents clairs, vous aiderez non seulement vos lecteurs, mais vous leur assurerez également de meilleurs résultats !

8.Faire travailler en groupe

Le tutorat et le travail en groupe sont un excellent moyen d’enseigner aux enfants dyscalculiques, car ils ont souvent du mal avec les chiffres. 

9.La bienveillance au coeur de l’apprentissage du calcul

Les encouragements et la reconnaissance des réussites (aussi petites soient-elles) sont les bienvenus car ils indiquent à l’enfant que ses efforts à l’école, quel que soit le domaine étudié, seront reconnus.

Une attitude bienveillante crée un cadre pour les élèves dyscalculiques qui leur permet de faire des efforts sans craindre les moqueries de leurs camarades ou les punitions des enseignants s’ils ne comprennent pas quelque chose par eux-mêmes ; de cette façon, nous pouvons l’aider à apprendre de meilleures techniques de résolution de problèmes lorsqu’il est confronté à des difficultés telles que celles rencontrées pendant les cours de mathématiques

Les signaux d’alerte pour la dyslexie.

Même s’ils ne sont pas encore scolarisés, les enfants atteints de dyslexie peuvent présenter des signes révélateurs des difficultés qu’ils auront à apprendre à lire à l’avenir. Ces signaux ne doivent pas être pris à la légère, car les reconnaître tôt peut augmenter les chances de réussite à l’école. Si votre enfant est âgé de plus de 5 ans, téléchargez notre fiche d’information sur la dyslexie.

Qu’est-ce que la dyslexie ? Qu’implique-t-elle précisément ?

La dyslexie est un trouble d’apprentissage neurologique. Il s’agit donc d’un problème de fonctionnement du cerveau plutôt que d’un problème d’intellect ou de stimulation. Il semble que la dyslexie soit génétique dans de nombreux cas.

Contrairement à la croyance populaire, tous les jeunes dyslexiques n’inversent pas les lettres. Ils ne confondent pas non plus toujours les b avec les d ou les p avec les q.

Un enfant atteint de dyslexie a du mal à reconnaître les mots. Il peut oublier des lettres, les inverser ou les remplacer par d’autres sans signification pendant la lecture, ce qui affecte sa vitesse et sa précision de lecture. Certains enfants atteints de dyslexie sont performants en lecture mais ont un rythme de lecture lent. Le fait que l’enfant lise lentement ou rapidement ne fait aucune différence ; qu’il..

Environ 10 à 20 % des enfants d’âge scolaire ont des difficultés à lire. Environ 5 % sont considérés comme étant dyslexiques, selon les estimations actuelles. Si un parent ou un membre de la famille présente un déficit linguistique, la probabilité d’être dyslexique passe à 50 %.

Voici quelques-uns des signes les plus courants indiquant que votre enfant est peut-être atteint de dyslexie.

Il existe des signaux d’alerte précoces indiquant qu’un enfant pourrait avoir des difficultés à apprendre à lire plus tard dans sa vie, et ce dès l’âge de trois ans. Cependant, la dyslexie ne peut être identifiée que lorsque l’enfant commence à lire et à écrire. En réalité, jusqu’à la troisième année d’école primaire, le diagnostic n’est généralement pas posé. Votre jeune peut avoir le même problème si un membre de votre famille a eu du mal à apprendre à lire.

Voici les signes à surveiller :

  • Il a du mal à reconnaître les couleurs;
  • Il a du mal à saisir de nouveaux mots dans des activités courantes.
  • Il utilise beaucoup de termes généraux (trucs, choses, machins, etc.).
  • Il a un peu d’appétence pour tous les types de sons (rimes, comptines, mots nouveaux, etc.).
  • Parce qu’il fait beaucoup de fautes de grammaire dans les mots ou n’utilise pas les phrases de manière efficace, les autres ont du mal à le comprendre.
  • Il n’a aucun intérêt pour la lecture ou les histoires.

Consultez votre médecin ou un orthophoniste si un ou plusieurs de ces signes s’appliquent à votre enfant de 3 ans ou plus. Consultez le site de l’Ordre des orthophonistes pour trouver un orthophoniste.

On ne saurait trop insister sur l’importance de reconnaître la dyslexie dès que possible.

La détection précoce des difficultés de lecture est essentielle. Il a été prouvé qu’il est plus simple de prévenir ces problèmes que d’essayer de les résoudre une fois que l’enfant a pris du retard à l’école.En conclusion, la lecture est nécessaire à toute étude académique, qu’il s’agisse d’arithmétique, de sciences ou d’histoire. Par conséquent, les problèmes de lecture ont un impact sur les autres matières également. Les enfants qui souffrent de difficultés de lecture peuvent également avoir une faible estime de soi et faire face à une foule de problèmes émotionnels (par exemple, sautes d’humeur, manque de persévérance, difficultés).

Aider un jeune présentant des signes de dyslexie

Vous pouvez commencer à apprendre à lire à votre enfant dès sa naissance. Vous pouvez même lui proposer des activités éducatives qui l’aideront à apprendre à lire plus tard

Si votre enfant souffre de dyslexie, parlez plus lentement et énoncez les mots importants. Pour aider votre tout-petit à apprendre de nouveaux termes, utilisez un langage précis et répétez souvent le même mot pour l’aider à le mémoriser (par exemple, « Regarde la libellule ! La libellule se repose sur la fleur. La libellule a un grand corps

Vous devriez également lui parler d’une manière plus vraie que nature, plutôt que d’utiliser des mots et des phrases « pour bébé » (par exemple, dites « veux-tu boire » au lieu de « boit un coup », et ainsi de suite). Cela vous aidera à être un bon modèle pour votre enfant.

Assurez-vous que votre tout-petit vous écoute et absorbe tout ce que vous dites. Passez du temps avec lui pendant la journée à faire des activités qui favorisent les compétences linguistiques, comme lire des histoires ou réciter des comptines, jouer avec les sons des mots (par exemple, faire des rimes, décomposer les mots en syllabes). Vous pouvez ensuite poser des questions à votre enfant pour évaluer sa compréhension de

Les jeux de rôle peuvent également être utilisés pour apprendre à votre enfant à écrire. Comme les jeux de rôle sont l’occasion pour les jeunes d’imiter les adultes, vous pouvez laisser votre bambin faire semblant de prendre des commandes dans un restaurant ou de donner des médicaments à son chien malade en lui faisant prendre un crayon et du papier.

Les principes fondamentaux de l’apprentissage de la lecture

Le premier pas d’un tout-petit vers l’apprentissage de la lecture consiste à reconnaître les sons qui composent un mot qu’il entend. À l’âge de 4 ans, la plupart des jeunes adorent expérimenter les sons de leur langue. Ils sont intrigués par les rimes et la possibilité d’en créer (par exemple, assiette – chat). Un bambin qui n’est pas ent

Il est important que le garçon comprenne que les mots sont constitués de plusieurs sons, tout comme il est essentiel qu’il comprenne que les lettres de l’alphabet représentent les sons de la parole. Il sera alors capable d’identifier les syllabes et les mots écrits, de les relier à ses connaissances existantes, et ainsi de suite.

L’enfant devra combiner les mots de la phrase avec les autres mots du texte et résoudre ce qu’il lit lorsqu’il reconnaît les lettres écrites. Les enfants qui s’expriment bien auront plus de facilité à comprendre ce qu’ils lisent s’ils peuvent imaginer ce qui se passe ensuite.

Résumé de la dyslexie chez l’enfant

  • Les signes indiquant qu’un jeune va être atteint de dyslexie peuvent se manifester avant qu’il n’apprenne à lire et à écrire. En revanche, la dyslexie ne peut être diagnostiquée avant que l’enfant ait appris à lire et à écrire.
  • Il est essentiel de détecter et de remédier à la dyslexie alors qu’elle est encore mineure, afin d’éviter l’échec scolaire.
  • Si un membre de la famille présente un trouble du langage ou de la lecture, l’enfant est plus susceptible d’en développer un.

Témoignages de parents d’enfant dyslexique

#1

Pouvez-vous nous parler de vous et de votre parcours éducatif ?

Je m’appelle Kevin et j’ai 23 ans. J’ai grandi dans une famille de dyslexiques, ma sœur et mon frère sont également dyslexiques, et comme je suis le dernier, mes parents étaient sensibilisés au sujet. En 5ème année, je crois, j’ai été diagnostiqué à cause de mon professeur de français. Un orthophoniste m’a suivi qui m’a évidemment aidé.

Quelle a été la source de vos frustrations ?

Malgré cela, j’ai persisté et j’ai eu des difficultés jusqu’à la deuxième année, lorsque j’ai rencontré un professeur de physique qui m’a encouragé à me donner à fond ! Il m’a fait comprendre que même si je n’étais pas génial en tout, j’étais capable de réfléchir et d’accomplir beaucoup de choses. Il m’a vraiment poussé à le faire, et par conséquent, je suis devenu le meilleur en Pour les examens, j’avais demandé pour la troisième fois le brevet et le bac en français. Pour la petite histoire, j’ai obtenu 7 à l’épreuve écrite de français mais 17 à l’oral ! J’étais à l’aise pour parler le français, c’était ma langue préférée.

J’aimais lire, mais l’écriture restait difficile pour moi ; je pensais que dès que je terminais une phrase, je faisais une faute d’orthographe, et il me fallait beaucoup de temps pour me relire ! Puis, au cours de ma dernière année, la philosophie a attiré mon attention.Tu peux être dyslexique, galérer à écrire mais tu peux avoir des idées et aimer un texte. J’étais plus à l’aise en philosophie, car quand j’écrivais, je savais qu’on me jugeait sur les idées et pas sur mon orthographe, c’est assez libérateur ! Merci, mon bon ami. Je vous suis reconnaissant car c’est grâce à votre excellente critique que j’ai été engagé par le cabinet où vous travaillez ! En fait, mes connaissances en grammaire anglaise se sont considérablement améliorées depuis.

Considéreriez-vous le fait d’avoir une différence d’apprentissage comme un avantage ?

Franchement, je pense que cela fait une différence ! Vous avez une vision très différente du monde ! Vous développez d’autres systèmes pour vous en sortir, vous devez travailler plus dur sur certains sujets et vous développez inévitablement une certaine persévérance. Vous avez plus de créativité, vous apportez immédiatement un angle différent à une pensée ! Je ne sais pas si c’est spécifique à moi

Comment vis-tu ta dyslexie aujourd’hui ?

Lorsque je cherchais du travail, j’étais prudent quant à mon handicap. En réalité, si on me demandait quelles étaient mes « limitations » lors des entretiens, je citais que je n’étais pas un écrivain professionnel !Je craignais qu’on se moque de mes compétences en orthographe et en lecture, et que les recruteurs découvrent que je n’étais pas aussi forte que je l’avais laissé paraître lors de l’entretien, qu’ils me considèrent comme une ratée. En réalité, j’ai découvert que personne ne me regardait de haut lorsque j’ai commencé à travailler (l’emploi actuel). C’est un poste où l’on ne me recherchait pas pour mes capacités d’écriture ! (Rires)

Un conseil pour tous les dyslexiques ? 

En tant que dyslexique, j’aimerais ajouter : ne vous arrêtez pas là ! Vous pouvez être dyslexique et aimer lire. Vous pouvez faire des fautes d’orthographe en écrivant. Peu importe le temps qu’il vous faut pour faire quoi que ce soit ; le plus important est que vous donniez le meilleur de vous-même ! Il y a des gens qui excellent dans certaines choses, mais pas dans d’autres.

#2

Enseignant et père d’un enfant dyslexique

Pendant de nombreuses années, ma compréhension de la dyslexie a été un manque de compréhension des mots et des inversions.

J’avais toujours associé l’enseignement à une bonne chose pour moi. Je mentionne cela parce qu’il existe différentes formes et degrés de dyslexie, qui peuvent rendre la vie difficile aux enfants.

Lorsque l’un de nos enfants a commencé sa première année d’école primaire, ma perception de la dyslexie a évolué. Il était extrêmement enthousiaste à l’idée d’apprendre à lire et à écrire, mais il a rapidement rencontré des difficultés.

Il a été soumis à un traitement orthophonique/logopédique pendant trois ans. Après trois ans de traitement, il s’était amélioré mais ses problèmes persistaient. Nous avons alors compris qu’il ne s’agissait pas d’un retard d’apprentissage ou d’un problème socio-émotionnel, mais plutôt d’une dyslexie. L’apprentissage du français est déjà assez difficile sans avoir à se préoccuper des compétences en lecture et en écriture. Chaque année, nous avons contacté ses instructeurs pour leur faire savoir que notre fils avait des résultats insuffisants, non pas parce qu’il n’avait pas travaillé ou qu’il était inattentif.

Grâce à sa persévérance tenace, notre fils arrive maintenant, après douze ans d’efforts acharnés, à mieux maîtriser sa dyslexie, même si elle est toujours bien présente. Récemment, un vendredi soir, je trouvais sur la table de la salle à manger, un mot sur lequel il avait écrit : Réveille-moi à 7h30 pour POSER. J’eus une petite hésitation, puis je compris. Dans sa tête, il avait pensé « pour BOSSER » .

Cela montre combien il est difficile pour un enfant dyslexique d’écrire correctement, car il doit constamment revérifier ce qu’il lit et écrit. Ils peuvent toutefois réussir s’ils en ont la ferme intention.

En tant qu’employé d’école, j’aimerais encourager mes collègues à avoir un esprit ouvert et une attitude positive lorsqu’ils ont affaire à des enfants dyslexiques, afin d’éviter de faire de l’école un enfer pour eux. Ce ne sera peut-être pas le paradis pour lui, mais il pourra progresser et surmonter ses difficultés de manière supérieure. Lorsqu’un enfant travaille dur et reçoit. Mais lorsqu’un jeune a fourni l’effort nécessaire, voire plus, et qu’il reçoit quand même un F ou même une mauvaise note, pensez à ce qu’il ressentira et à la bravoure qu’il lui faudra pour se relever et continuer à persévérer.

Nous devons donc faire tout notre possible pour offrir à ces jeunes, qui sont si désireux de progresser, la possibilité de démontrer leurs compétences en matière de présentation orale ou de composition écrite à la maison, même s’ils doivent utiliser un correcteur orthographique.

En tant que père, je voudrais rappeler aux parents d’enfants dyslexiques qu’ils ne sont pas responsables des problèmes de leur enfant, mais que tout ce qu’ils peuvent faire pour l’aider et l’encourager est apprécié, même si c’est une petite chose et même s’ils sont souvent poussés à bout par les séances de devoirs ! Je ne peux que les inciter à parler avec leur

Enfin, je voudrais encourager les jeunes dyslexiques – et n’oublions pas ceux qui ne sont pas encore en âge d’être diagnostiqués « dyslexiques », car il n’est jamais trop tard pour surmonter ce désagrément – à ne pas abandonner lorsqu’ils rencontrent un panneau indiquant : « Barrage routier »

Soyez résilient et persévérant même si vous êtes dyslexique. Cela vous poussera à vous endurcir, à surmonter les défis et à montrer les talents et capacités exceptionnels qui résident en vous.

la depression de l’enfant

Avez-vous un enfant qui éprouve une tristesse intense ?

La dépression chez les enfants peut être difficile à reconnaître. Les symptômes de la dépression peuvent inclure l’irritabilité, l’anxiété, la colère, l’isolement social et des changements dans l’appétit ou les habitudes de sommeil. Si votre enfant présente l’un de ces symptômes pendant deux semaines ou plus, il est important de discuter avec son médecin pour savoir s’il peut être déprimé.

Il n’est pas toujours facile de savoir si un enfant est déprimé, mais il existe des signes communs que les parents doivent surveiller, comme le fait de se sentir triste la plupart du temps et de ne plus s’intéresser aux activités qu’il aimait auparavant. D’autres signes peuvent inclure le fait de parler de suicide ou de mort, d’avoir des difficultés à se concentrer à l’école, de se retirer des amis et des membres de la famille et d’agir de façon imprudente sans penser aux conséquences (par exemple, avoir un comportement sexuel à risque). Ces comportements peuvent également indiquer d’autres problèmes de santé mentale, comme un trouble bipolaire, et seul un diagnostic professionnel permettra de déterminer la nature réelle du problème.

Action : Parlez-en à votre pédiatre dès aujourd’hui si vous pensez que votre enfant pourrait souffrir de dépression !

Qu’est-ce que la dépression chez l’enfant ?

La dépression est un trouble de l’humeur qui touche environ 3 % des enfants âgés de 3 à 17 ans.

Elle apparaît le plus souvent vers 10-12 ans, mais elle peut survenir avant cette période ou, dans de rares cas, dès la petite enfance. Certaines personnes souffrant de dépression éprouvent des sentiments persistants tels que la tristesse, l’impuissance, le vide, le désespoir et l’inutilité, ce qui les amène à perdre tout intérêt pour les activités quotidiennes agréables. Il a été démontré que la dépression a des conséquences non seulement sur ce qu’ils ressentent mais aussi sur leurs capacités de réflexion, ce qui rend ces jeunes plus susceptibles d’adopter des comportements à risque

Les causes de la dépression chez l’enfant ?

L’environnement d’un enfant peut avoir un impact significatif sur le fait qu’il développera ou non une dépression. Si l’enfant est vulnérable dans ces trois domaines, il a plus de chances d’être affecté par cette maladie ; toutefois, cela n’est pas automatique et d’autres facteurs entrent également en jeu.

Voici quelques exemples de ce qui peut causer la vulnérabilité : la génétique (population homogène), les déficiences de tempérament où les gens ne sont pas facilement déprimés rapidement parce que leurs systèmes réagissent fortement d’une façon – par exemple, la manie- le trouble bipolaire qui commence généralement avant l’âge de 15 ans-, etc… D’autres causes peuvent découler de choses telles que le manque de réseau de soutien social à la maison

  • L’un des deux parents biologiques a ou a eu un trouble de la santé mentale. Cela entraîne souvent de nombreuses difficultés pour élever des enfants, notamment un risque accru de dépression et de maladie bipolaire. La maladie mentale peut sérieusement affecter votre vie, comme ce fut le cas pour l’arbre généalogique de ce parent, car il est incapable de vous apporter un soutien émotionnel au moment où vous en avez le plus besoin, ce qui affecte la façon dont vous vous sentez vous-même..
  • Les scientifiques ont récemment découvert que le cerveau n’est pas un organe unique, mais plutôt un réseau entier de tissus interconnectés. Lorsque ce réseau fonctionne mal, il peut provoquer toutes sortes de problèmes tels que la dépression et l’anxiété. Cette nouvelle compréhension a de nombreuses implications sur la façon dont nous devrions traiter les troubles mentaux comme ceux-ci, qui impliquent un dysfonctionnement important de certains composants ou régions de notre cerveau.
  • Un enfant qui vit avec une maladie chronique ou une condition médicale particulière est plus à risque de développer une mauvaise santé. Les manifestations de cette situation peuvent inclure l’asthme, l’eczéma et les allergies ; des problèmes orthopédiques, notamment une démarche maladroite due à une paralysie de la spina bifida occulta Mubarak majesté (SBPMP) ; des retards de développement causés par une encéphalopathie ou/et une tusomalie – un retard mental qui se produit lorsqu’il y a eu des dommages causés à l’intérieur du cerveau généralement avant la naissance ; des problèmes cardiaques tels que des défauts congénitaux en conjonction avec une anomalie du canal AV causant une insuffisance cardiaque pendant l’enfance . Et bien d’autres encore !
  • L’environnement familial peut avoir un impact important sur la santé mentale. Les abus physiques ou sexuels, la violence au sein de la famille, les situations de conflit où il y a des tensions entre les partenaires et/ou le manque de communication sur des sujets importants entraînent tous des taux plus élevés de dépression chez les enfants qui vivent avec ce genre de situations au quotidien, bien avant d’être assez âgés pour apprendre à se débrouiller lorsqu’ils sont confrontés à des défis difficiles plus tard, à l’âge adulte !
  • La liste des facteurs de stress est sans fin. Vous pouvez vous sentir rejeté par vos amis ou votre famille, intimidé dans votre recherche d’emploi et même ignoré lorsque vous avez besoin de l’aide de votre partenaire de vie ! Mais ne vous laissez pas impressionner par ces petits facteurs ; ce qui compte le plus, c’est la façon dont nous y réagissons – nous motivent-ils ? Ou bien cette personne aurait-elle pu être une source d’inspiration potentielle et au lieu de cela, tout s’est réduit…
  • Il peut être difficile de s’adapter lorsque l’on se trouve dans un nouvel environnement. Les changements récents, comme la séparation des parents ou la perte d’un être cher, rendent la situation encore plus difficile pour les enfants et les adolescents qui doivent faire face à ces problèmes en plus des défis habituels comme l’adaptation à l’école. L’important n’est pas toujours la façon dont ils gèrent intérieurement la situation, mais aussi le fait d’avoir quelqu’un à leurs côtés pour que, quoi qu’il arrive, l’adolescent se sente soutenu tout en rendant cette période difficile plus facile que possible

Comment distinguer l’anxiété de la dépression chez l’enfant ?

L’anxiété est courante chez les enfants et les tout-petits, mais il ne faut pas la confondre avec la dépression. Avant de diagnostiquer un enfant pour l’un ou l’autre de ces troubles, le médecin essaiera d’abord de détecter s’il souffre ou non d’un trouble anxieux en posant quelques questions sur son humeur ainsi que sur d’autres facteurs tels que les troubles du spectre TDAH, les TSA (troubles du spectre autistique), le syndrome de Gilles de la Tourette, la maladie bipolaire .

Quels sont les symptômes de la mélancolie chez les jeunes ?

Voici les indicateurs les plus courants de la dépression chez les enfants: Tous les jeunes ne présentent pas les mêmes symptômes. Certains, par exemple, dormiront plus que d’habitude tandis que d’autres s’endormiront moins facilement. Un enfant souffrant de dépression peut présenter un ou plusieurs des signes suivants :

  • Un sentiment de mélancolie qui ne s’estompe pas ;
  • Irritabilité qui sort de l’ordinaire ;
  • Maux de tête, maux d’estomac et autres types d’inconfort physique ;
  • Difficulté à s’endormir;
  • Des changements d’appétit ou de poids, qui peuvent être causés par une alimentation inadéquate (l’enfant ne grandit plus comme prévu).
  • le manque de volonté, un mauvais jugement et une mauvaise attitude peuvent tous contribuer à la baisse du niveau d’énergie d’une personne
  • Isolement excessif ou continu d’un jeune
  • Il y a une perte totale d’intérêt pour les jeux, les passe-temps et autres passe-temps ;
  • Changements à l’école ou à la garderie (dans la conduite, les habitudes ou les performances du jeune) ;
  • Une faible estime de soi, par exemple, c’est un jeune qui croit « Je suis nul »

Les jeunes enfants sont plus enclins à présenter divers symptômes lorsqu’ils sont déprimés, car ils ont une compréhension réduite des émotions qu’ils éprouvent et ont encore du mal à les exprimer. Ils peuvent, par exemple, avoir des larmes ou des crises de colère.

Si votre jeune présente des symptômes de dépression, que devez-vous faire ?

Si votre jeune semble être déprimé, vous devriez obtenir une aide professionnelle. Cependant, en tant que parent, vous avez également un devoir à jouer pour aider la santé générale de votre enfant et établir une bonne routine quotidienne.Par exemple :

  • Partagez vos sentiments et vos émotions avec lui ; montrez-lui que vous êtes là pour lui.
  • passez de bons moments avec lui (moins de télé, plus de sorties)
  • Profitez de cette occasion pour établir un rapport dans un cadre naturel avec l’autre en offrant le cadeau de l’empathie et en démontrant que vous comprenez leurs sentiments.
  • Les enseignants peuvent aider les enfants qui luttent contre l’anxiété en leur apprenant à pratiquer des techniques simples de relaxation ou de méditation.
  • En outre, il est important que votre jeune ait un mode de vie sain avec des repas équilibrés et variés, un sommeil suffisant, un exercice régulier, etc.

Quand faut-il consulter un médecin ?

Si vous remarquez que les symptômes de dépression de votre enfant durent plus de deux semaines, n’hésitez pas à contacter un professionnel de la santé. D’autre part, si vous n’êtes pas sûr de ce qui se passe avec votre enfant et que vous vous inquiétez pour lui, n’attendez pas plus longtemps pour obtenir de l’aide. Il est préférable de demander de l’aide même si cela s’avère inutile.

Que dois-je faire ?

Si votre enfant présente des symptômes de dépression, vous pouvez contacter le 811 et choisissez l’option info-social pour parler immédiatement à un travailleur social. Vous pouvez aussi vous adresser à:

  • Vous devriez pouvoir trouver un médecin de famille ou un pédiatre qui verra votre enfant
  • votre CLSC (programme CAFE : CRISE-ADO-FAMILLE-ENFANCE ou services de santé mentale pour enfants et parents);
  • une infirmière, un psychologue ou un travailleur social du milieu communautaire ou scolaire;
  • un psychologue en pratique privée.

N’ayez pas peur de poser des questions à votre médecin de famille ou de lui demander des ressources pertinentes pour votre région, ainsi que des références à d’autres spécialistes. Le médecin de votre enfant sera également en mesure de déterminer s’il a besoin d’une consultation avec un pédopsychiatre.

Traiter la dépression chez les enfants

Traitement psychologique de la dépression

La première étape consiste à analyser le jeune et son environnement. Cette étape est cruciale et doit être réalisée avec l’aide des personnes qui connaissent bien l’enfant. Elle permet de mettre en œuvre diverses tactiques psycho-éducatives pour améliorer l’environnement de l’enfant, comme la création d’une routine apaisante.

La psychoéducation professionnelle est le processus qui consiste à informer les parents (ou la famille) des difficultés de santé mentale d’un enfant et à les conseiller sur les moyens d’améliorer la situation. L’une de ces premières étapes consiste à informer les parents de ce qu’est la dépression, de la durée de la thérapie et du suivi auquel ils doivent s’attendre. Il est possible que des suggestions telles que des ajustements de la routine ou du mode de vie puissent aider le jeune.

Un projet de recherche de deux ans a permis d’acquérir de nouvelles connaissances sur le développement de la petite enfance. L’étude s’est penchée sur l’influence de l’âge sur le développement des émotions des enfants, montrant que certaines phases sont particulièrement importantes pour la compréhension des émotions. Cette phase aide également les parents et, en de rares occasions, d’autres membres de la famille (grands-parents, frères et sœurs) à mieux reconnaître et comprendre les sentiments de leurs jeunes.

Traitement à base de Psychothérapie

Dès l’âge de trois ans, la thérapie familiale peut être utilisée, en fonction des besoins du jeune. La thérapie par le jeu, le dessin, etc. peut être employée avec les tout-petits. La psychothérapie individuelle peut également commencer à un plus jeune âge si l’enfant est assez grand pour être seul avec un thérapeute. C’est généralement vers l’âge de 8 ans chez les enfants.

Traitement à l’aide de Médicaments

Enfin, si ces thérapies psychoéducatives et la psychothérapie n’aident pas l’état du jeune, le médecin envisagera la prise de médicaments antidépresseurs

Cette thérapie est généralement administrée en conjonction avec les deux autres traitements décrits ci-dessus pour les dépressions modérées à sévères. Les antidépresseurs sont rarement prescrits avant l’âge de 12 ans, bien qu’ils puissent être obtenus dès l’âge de 8 ans.

La réponse dépendra donc des symptômes et d’autres facteurs tels que l’âge de votre enfant. Cependant, il y a des cas où les médicaments peuvent être administrés plus rapidement ou à des enfants plus jeunes : par exemple, en cas d’anxiété sévère ou si les thérapies n’ont pas donné de résultats positifs après une période donnée

Même si les parents sont séparés, une ordonnance doit être approuvée par les deux. Un médecin ou un pédopsychiatre doit garder un œil sur le jeune pendant toute la durée de la thérapie.

La dépression chez les enfants de moins de 5 ans

La dépression n’apparaît généralement pas avant que l’enfant ait 3 ans ou moins, mais elle peut survenir à tout âge. Les tout-petits ayant des antécédents familiaux de dépression sont plus susceptibles d’être déprimés. Les tout-petits qui ont un tempérament « dur » (en termes de maîtrise de soi, d’attachement et de crises de colère) depuis la naissance et qui sont sensibles dès le départ sont également plus à risque.

Un bébé né d’une mère déprimée pendant la grossesse ou jusqu’à trois ans après l’accouchement est également plus susceptible de devenir triste. Cela peut être dû au fait que la mère n’a pas pu établir un lien émotionnel sûr avec son jeune pendant sa dépression. La dépression chez le père peut également avoir un impact sur le nourrisson.

Lorsque les parents biologiques ont souffert de dépression clinique, le risque que leurs enfants la développent est trois à cinq fois plus élevé. Si vous vous sentez déprimé, il est crucial que vous obteniez de l’aide le plus rapidement possible. Toute votre famille bénéficiera de vos efforts.

En résumé

  • La dépression est une maladie mentale qui a un impact sur l’intellect, l’humeur et le comportement d’un jeune.
  • Si les symptômes dépressifs mineurs sont peu fréquents chez les jeunes enfants, ils peuvent survenir à tout âge.
  • Si vous êtes inquiet pour votre enfant, n’attendez pas plus longtemps pour obtenir de l’aide car la dépression doit être traitée.

Les « troubles dys » en entreprise et au travail

Le monde du travail a longtemps été un endroit où les personnes souffrant de troubles « dys » ou de troubles cognitifs spécifiques n’ont pas leur place, mais il semble désormais que leur profil neuro-atypique puisse se révéler sous un jour plus positif. Des études mettent en évidence le fort potentiel de ces personnes lorsqu’elles travaillent dans des environnements compétitifs et créatifs

Le suffixe dys signifie « incapacité ou handicap » en grec ancien. Ce sont tous des mots qui décrivent les personnalités les plus brillantes de notre époque, comme Steve Jobs et Richard Branson – mais ils ont aussi un handicap invisible qui les rend moins intéressants à connaître !

Défaire les idées reçues sur les DYS:

– Ils ne constituent pas un handicap pour l’entreprise.

– Les profils neuro-typiques peuvent être révélés sous un jour plus positif.

– Les personnes atteintes de « troubles dysfonctionnels » ont le potentiel de contribuer positivement à l’environnement de travail.

Le suffixe dys est un choix de mots intéressant pour ces personnes, car il signifie quelque chose comme « difficulté » ou « problème » Cela montre à quel point ces termes étaient rarement utilisés auparavant dans les livres d’histoire. Steve Jobs a été diagnostiqué comme souffrant de troubles spécifiques du langage (TSL), tandis que son ami Henry Ford a également été classé dans cette catégorie avec un trouble de la déficience mentale. Même si ces deux hommes sont considérés comme des légendes dans le monde des affaires, ils ont tous deux été étiquetés comme handicapés.

Explication : Les mots « dys » et « fonctionnel » ont déjà été utilisés pour décrire des personnes au profil neuro-atypique comme Steve Jobs d’Apple ou Henry Ford de Ford Motors. Même s’ils sont largement connus pour leurs contributions à la société.

Les personnes atteintes de troubles « dys » sont souvent incomprises et marginalisées. Un nouveau concept appelé NeuroDiversité a été développé pour aider les gens à comprendre qu’ils ne sont pas brisés, mais simplement différents des autres à leur manière

Partout dans le monde, des personnes ont un cerveau qui fonctionne différemment de celui de la plupart des autres êtres humains – et c’est parfaitement normal ! Judy Singer a créé une théorie similaire à ce que nous connaissons sous le nom de profils neuro-typiques : ceux qui éprouvent des difficultés à lire ou à parler, par exemple, peuvent être diagnostiqués dyslexiques ; un autre exemple est celui d’une personne qui a des difficultés à écrire parce qu’elle souffre de dyspraxie (qui signifie mouvement difficile).

Les difficultés au travail

Les obstacles au travail peuvent être variés en fonction du trouble. Par exemple, une personne dyslexique et ayant des difficultés d’orthographe peut avoir des difficultés à écrire parce qu’elle fait beaucoup de fautes lors de la réalisation de tâches simples comme l’envoi d’un courriel à son partenaire ou à son client (Bates & O’Leary 2005).

À une époque où les entreprises ont besoin d’employés ayant de solides compétences en lecture et en écriture, il est difficile pour ceux qui ont des « dysfonctions » – un mot qui signifiait à l’origine engourdissement ou paralysie d’une partie du corps. Ces personnes peuvent se heurter à des obstacles dus à leur manque d’aptitude, mais elles offrent également un grand potentiel si on leur en donne l’occasion !

les « Dys » peuvent être des atouts pour l’entreprise

Les personnes « Dys » pensent différemment ! C’est pourquoi elles sont si douées pour découvrir de nouvelles façons de faire les choses. Elles ont le don de voir ce que les autres ne voient pas encore, ou de comprendre l’espace et le temps d’une manière unique que personne d’autre ne connaît. Tu pourrais faire l’expérience de certains de ces talents extraordinaires si tu souffres de « dyspraxie », qui est une forme, ce qui signifie qu’il peut y avoir beaucoup d’autres formes semblables (et crois-moi, nous rencontrons tous quelqu’un qui a quelque chose).

La science a découvert de grandes qualités cachées au fond de nous – certains progrès scientifiques ont permis de les démasquer une fois de plus, tandis que d’autres retours d’information provenaient de pays où les taux sont historiquement bas… mais maintenant, grâce à des études récentes sur les capacités de type dyslexique, où notre cerveau traite l’information

Les personnes atteintes de dyslexie se retrouvent souvent dans les domaines de l’architecture et de l’ingénierie car elles sont capables de traiter l’information rapidement. Une étude (Brazeau-Ward, L., 2005) a montré que si les personnes non dyslexiques prennent 150 images par seconde lorsqu’elles regardent une page contenant du texte ou des graphiques, ce chiffre passe à 4K pour celles qui souffrent de difficultés de lecture comme ces personnes !

La NASA cherche à recruter des dyslexiques pour leur capacité à résoudre des problèmes et leur perception spatiale en trois dimensions. Reconnus comme de grands travailleurs de capacité, des personnes tenaces et dotées d’une créativité qui les conduit aux États-Unis à des aménagements leur permettant une meilleure intégration dans la société en général ; mais pas tant que ça là où la France fait défaut ! Bien que les mentalités évoluent lentement sur le fait que ces capacités cognitives valent la peine qu’on y investisse du temps ou de l’argent, de nombreuses entreprises n’en profitent toujours pas, car elles se privent trop souvent de ce précieux réservoir de talents en négligeant sa valeur qui peut conduire à une plus grande réussite.

Les solutions à mettre en oeuvre

Contrairement aux handicaps visibles, les « troubles dys » ne sont trop souvent pas pris en compte en termes d’accessibilité au travail. Il existe pourtant une mesure simple pour les employés qui ont besoin d’accéder aux instructions (orales ou écrites) : un logiciel de lecture spécifique avec correcteur orthographique et/ou des écrans plus grands sur les machines lorsque cela est possible ; ces adaptations peuvent également aider les personnes à lire le texte à haute voix s’il a été lu à l’écran à la place ! La difficulté consiste à calibrer l’adaptation de votre entreprise – en se rappelant que les différents types peuvent nécessiter des combinaisons en fonction des besoins de chaque individu, tout en gardant à l’esprit le fait qu’ils impliquent tous un certain degré d’adaptation

L’accent est mis sur la formation à la gestion et sur la manière dont les problèmes doivent être traités pour éviter tout problème juridique potentiel en aval.

Ne faites pas des troubles du langage oral ou des handicaps liés aux mots écrits un fardeau pour les employés. Offrez-leur les aménagements nécessaires pour les aider à fonctionner au travail, comme donner des instructions claires et fournir de l’aide en cas de besoin, mais donnez-vous aussi le temps de vous adapter !

L’arrivée dans une équipe d’une personne atteinte de « troubles dys » doit être préparée. Pour ce faire, des équipes telles que la Fédération Française des Dys et l’AGEFIPH aident les entreprises à devenir plus inclusives

Le processus commence par l’identification de la meilleure façon pour votre lieu de travail d’accueillir les employés qui ont des besoins différents des autres – y compris ceux liés au handicap ou à la maladie. Par exemple 

1) S’assurer qu’il y a suffisamment de sièges disponibles à tout moment afin que personne ne se sente isolé en raison de sa situation ; 2) Offrir des pauses supplémentaires pendant les périodes de travail intenses, simplement parce que cela empêche d’être productif ; 3a + b4)) Encourager..

la dysphasie

Trouble primaire du langage oral

Un trouble primaire du langage oral est un trouble du développement neurologique qui affecte la compréhension et l’expression verbale. Il peut affecter la compréhension des personnes, quelle que soit la modalité (orale ou écrite). La dysphasie primaire persiste tout au long de la vie, mais ses manifestations varient en gravité ; certaines personnes peuvent n’avoir que de légères difficultés, tandis que d’autres peuvent être totalement incapables de communiquer sans faire de signes, en combinant des gestes ou des signes avec leurs mains de chaque côté de la tête, puis en ouvrant la paume vers le haut en disant « haut ».

Ce trouble du langage peut avoir un impact considérable sur la vie de l’enfant, puisqu’il est incapable de s’exprimer ou de comprendre quoi que ce soit en rapport avec sa langue maternelle.

Les symptômes de la dysphasie

La dysphasie est un trouble qui affecte la capacité de compréhension du langage oral et écrit. Elle peut se manifester de différentes manières, rendant difficile pour les personnes qui en sont atteintes de mettre leurs pensées en mots ou d’écrire des phrases correctement sur papier sans faire d’erreurs.

Ce trouble peut se manifester chez les enfants par un certain nombre de comportements différents. Il est impossible que cette liste couvre toutes les manifestations !
Voici quelques signes courants indiquant que votre enfant pourrait souffrir de TDAH : difficulté à se concentrer ou à suivre des instructions ; difficulté à se conformer aux normes sociales, comme ne pas écouter lorsque quelqu’un s’adresse directement à lui (au lieu de cela, il regarde dans le vide) ; agitation lorsqu’il reste assis pendant une période prolongée.

Au niveau réceptif (compréhension du langage) :

Les mots les plus difficiles pour de nombreuses personnes sont des concepts abstraits comme la démocratie ou la philosophie. Ceux-ci peuvent être difficiles à comprendre et à acquérir (par exemple, similaire).

« Incompétent » est un mot dur. Ne comprend pas ou ne différencie pas tous les mots d’interrogation (par exemple, où, quand, comment), les concepts temporels (avant/après) et les termes spatiaux tels que haut-bas gauche sur droite, etc.

Pouvez-vous suivre le rythme des phrases longues et compliquées ? C’est difficile pour moi de les comprendre quand elles sont dans un message. Peut-être devrions-nous avoir des conversations en face à face plutôt que par SMS ou messagerie instantanée !

Au niveau expressif (expression du langage) :

Le manque de connaissances de l’enfant sur les sons et leur fonctionnement peut entraîner des problèmes de recherche de mots.
L’enfant pourrait souffrir d’un trouble appelé « manque de mots ». La difficulté à trouver les mots est fréquente chez les personnes qui souffrent de ce type de trouble, mais certaines personnes ne le développent jamais en raison de la génétique ou d’autres facteurs environnementaux comme une perte auditive avant la naissance (in utero). Ces personnes ont encore plus de mal à inventer leurs propres mots lorsqu’on leur en donne de nouveaux, car elles n’ont pas assez de vocabulaire au départ !

Le diagnostic neuropsychologique de trouble primaire du langage oral

L’enfant a du mal à définir verbalement un concept ou une idée
Il utilise trop de mots de remplissage (par exemple, chose, affaire), sa construction de phrase est atypique (utilisation du verbe avant le sujet), et son hésitation/pause dans le discours peut être assez longue lorsqu’il essaie de parler de quelque chose de nouveau avec quelqu’un d’autre qui peut ne pas en savoir beaucoup non plus – généralement jusqu’à ce qu’il mentionne un sujet sans rapport, juste pour que l’auditeur ne se sente pas exclu !

L’orthophoniste évalue les troubles primaires du langage afin de proposer une rééducation personnalisée à l’enfant. Le neuropsychologue participe en objectivant le potentiel intellectuel, le raisonnement perceptif (logique visuelle), la mémoire et l’attention ainsi que les fonctions exécutives s’il n’est pas présent lors des évaluations orthopédiques.


Le travail de l’orthophoniste consiste à évaluer la capacité d’une personne à traiter l’information verbalement en fonction de sa connaissance des règles de grammaire ou de la prononciation ; il propose ensuite un programme d’intervention visant à l’aider à améliorer ces compétences afin que, lors des interactions avec les autres, son message soit clair au lieu de passer à travers un environnement bruyant.

L’évaluation de ces fonctions cognitives permet au neuropsychologue de poser un diagnostic ou d’avancer d’autres hypothèses si ce n’est pas leur cas. Les principales orientations pédagogiques favorables à l’épanouissement de l’enfant sont également proposées : classe ordinaire, salle de ressources (salle destinée spécifiquement à une aide supplémentaire), séance en petits groupes où les élèves qui ont besoin d’une attention particulière peuvent l’obtenir ; les classes de langues visent à développer les compétences orales en travaillant sur le vocabulaire et la prononciation sans qu’aucune traduction ne soit nécessaire – l’objectif étant la fluidité à l’oral et à l’écrit.

L’évaluation identifie également les forces cognitives de l’enfant à partir desquelles les professionnels peuvent faire appel à la rééducation. En outre, même si un jeune présente un profil atypique ou des résultats d’évaluation, des recommandations spécifiques sont formulées, ainsi que des pistes d’intervention et les personnes chargées de les mettre en œuvre


Un médecin peut vous recommander de prendre des médicaments pour vous aider à améliorer votre humeur certains jours où elle n’est pas très bonne Par exemple : Je connais quelqu’un dont le thérapeute lui a recommandé d’essayer de s’autoriser des fantaisies agréables pendant qu’elle s’endort – comme s’imaginer utiliser des cotons-tiges trempés dans de la sauce à fondue au chocolat et les placer délicatement sur son corps.

Approche et traitements de la dysphasie

Bien que le caractère persistant de la dysphasie puisse sembler permanent, il est essentiel de proposer une rééducation aux personnes qui souffrent de ce trouble. La rééducation peut les aider à évoluer et à s’équiper en apprenant à surmonter leurs difficultés tout au long du développement. Les orthophonistes sont particulièrement qualifiés pour proposer des plans de traitement qui conduiront les enfants sur la voie de la guérison.

Les jeunes atteints de dysphasie peuvent être suivis en orthopédagogie en fonction de leurs besoins et de l’évolution de ce trouble. L’enseignant ciblera d’autres compétences que le langage (organisation des tâches ou mathématiques, entre autres), en tenant toujours compte de ce que chaque élève a de spécifique dans ce trouble.

TDAH – Le Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité

Le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité existe depuis longtemps, mais ce n’est que dans le DSM-IV de 1994 que ce terme a été introduit. On l’appelle souvent TDAH parce que ses symptômes sont des difficultés d’attention que l’on peut observer chez la plupart des personnes qui en sont atteintes – et pas seulement chez celles qui présentent des troubles diagnostiqués comme le trouble hyperkinétique ou le retard mental. »

L’hyperactivité peut être un symptôme difficile pour les parents et les enseignants. C’est souvent le plus visible, mais il ne doit pas nécessairement donner lieu à un diagnostic qui a été associé à l’impulsivité sans la nommer comme telle.


Les symptômes du TDAH peuvent sembler perturbateurs lorsqu’ils apparaissent pour la première fois chez l’enfant ou l’adulte – mais les personnes qui souffrent de cette affection connaissent également des problèmes qui dépassent ce que les autres pourraient attendre d’eux au premier abord !

3 troubles clinique du TDAH:

Inattention:

L’attention est la capacité à se concentrer sur une chose à la fois. Elle est importante pour les enfants et les adultes qui ont du mal à se concentrer, car ils peuvent être distraits par d’autres choses, comme des bruits derrière eux ou devant eux .

Impulsivité:

Un enfant atteint de ce trouble est incapable d’attendre pour obtenir des choses comme de la nourriture, des jouets et d’autres articles qu’il désire. Il ressent l’impulsion de vouloir quelque chose tout de suite, même si cela signifie faire la queue dans un magasin ou un restaurant avec ses parents qui s’efforcent de ne pas montrer leur frustration en étant patients eux aussi

Hyperactivité:

Un enfant hyperactif est quelqu’un qui ne peut pas rester tranquille, souvent parce qu’il ne finit pas ce qu’il commence. Passer d’une activité à une autre sans en finir peut être frustrant pour les parents comme pour les enseignants !

Trouble Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité – TDAH

Le TDAH est un trouble neurodéveloppemental dont les symptômes se manifestent pendant l’enfance sous trois aspects cliniques : l’attention, l’impulsivité et l’hyperactivité. Les personnes atteintes de ce trouble ont souvent du mal à contrôler leurs émotions ou leur comportement, ce qui peut leur causer des problèmes à la maison et à l’école, mais aussi dans la rue où beaucoup développent des problèmes de toxicomanie plus tard dans la vie en raison d’un cortex préfrontal (PFC) sous-actif.

Le TDAH est un trouble qui se manifeste chez les enfants et les adolescents avant l’âge de 12 ans, excessif pour l’âge chronologique. Il peut être diagnostiqué s’ils répondent à quatre critères :
M (plus), A (toujours), D (distractibilité/rêverie) Difficultés prononcées d’attention se manifestant par de l’hyperactivité ou de l’impulsivité entraînant des problèmes pour accomplir des tâches à l’école/au travail/à la maison, etc

Un diagnostic selon les critères du DSM-5 ne peut être posé chez les enfants que s’ils présentent 6 des 9 symptômes des deux dimensions. Il est important qu’il y ait eu une manifestation de niveau inapproprié à un jeune âge, ainsi que…

Les symptômes de l’enfant doivent être présents depuis plus de six mois et se manifester avant l’âge de 12 ans dans deux domaines : social ou à la maison avec les membres de la famille, tâches liées à l’école. Il en résulte un déficit fonctionnel qui ne peut être compensé par d’autres mécanismes tels que les techniques d’auto-apaisement, ce qui, en l’absence de traitement, aura des conséquences néfastes plus tard dans leur vie

Les symptômes durant l’enfance ne doivent pas nécessairement se manifester uniquement dans un domaine particulier (par exemple, le domaine professionnel), mais peuvent se manifester périodiquement tout en maintenant un certain effet ailleurs dans de multiples domaines, ce qui affecte la qualité des expériences de vie en général.

Trois manifestation du TDAH:

  • Le sujet présente à la fois des critères d’inattention et d’hyperactivité/impulsivité, ce qui en fait un candidat intéressant pour votre expérience.
  • Les personnes inattentives sont souvent très désorganisées et oublieuses. Elles ont du mal à prêter attention à quelque chose ou à quelqu’un d’autre qu’elles-mêmes pendant de brèves périodes de temps sans que cela ait un effet sur leur capacité à accomplir leurs tâches, à rester organisées ou à maîtriser les choses qu’elles doivent faire, se souvenir des informations qui leur sont données par d’autres, ce qui conduit ces personnes à être facilement distraites lorsqu’elles sont entourées de stimuli qui se disputent leurs ressources cognitives limitées, ce qui rend difficile non seulement de se concentrer, mais aussi de rester engagé assez longtemps, de sorte que beaucoup deviennent inefficaces au fil du temps et oublient presque tout lorsqu’ils sont engagés dans un environnement de travail, parce que ce type de personne a tendance à remplir son esprit de pensées sans rapport avec le sujet, qui ne cessent de le distraire.
  • L’hyperactivité et l’impulsivité ne sont pas l’apanage des enfants. En fait, les comportements hyper/impulsifs peuvent commencer dès la petite enfance !
    La curiosité naturelle d’un enfant l’amène à explorer son environnement, ce qui l’amène souvent à toucher ou à mâcher des objets qui pourraient être dangereux – c’est ce qu’on appelle sucer son pouce dans le langage enfantin (ou ouvrir sa bouche). Si un parent essaie d’éloigner ces mains sans comprendre pourquoi il veut tant que cela disparaisse… vous vous retrouvez avec un petit actif qui risque d’être encore plus frustré lorsque ces gestes ne se déroulent pas comme prévu, car il n’y a plus rien pour stimuler ses sens, si ce n’est lui-même qui recommence exactement comme avant..

Epidémiologie du TDAH

Le TDAH est le trouble le plus courant de la psychopathie, sa prévalence étant estimée à environ 5%. Les garçons sont 3 fois plus susceptibles que les filles de souffrir de TDAH, avec un taux compris entre 3,5% et 6%. Des études menées auprès de la population française d’âge scolaire ont également montré que 4 enfants sur 10 souffriront de ce trouble ou connaîtront quelqu’un qui en est atteint (Lecendreux et al., 2011).

Comorbidité du TDAH

Le TDAH est une affection très courante, qui touche au moins 50 % des enfants et des adolescents aux États-Unis (Takeda et al., 2012). Ces personnes sont plus susceptibles que les autres de souffrir également d’un autre trouble, comme la dépression ou les troubles anxieux.

Les personnes atteintes d’un type mixte de TDAH sont plus susceptibles de présenter un trouble d’extériorisation que celles qui ne le sont pas. Selon Miller et al., 2007 [6], les personnes de ce dernier groupe semblent principalement engagées dans des activités telles que la rêverie ou l’indolence, tandis que leurs homologues affichent des taux élevés de comportements impulsifs qui peuvent les mettre en difficulté lorsque vient le moment de faire quelque chose d’important (par exemple, un travail scolaire).

Le TDAH de la forme inattentive est souvent associé à un certain nombre de troubles différents qui peuvent affecter la capacité d’apprendre et de fonctionner correctement. Il s’agit notamment de troubles de l’anxiété, de problèmes de sommeil (Sobanski 2006), de difficultés d’apprentissage telles que des résultats scolaires inférieurs ou des qualifications moindres pour des carrières de plus haut niveau comme celle d’officier de service à la NASA[8][9], entre autres.

La présence d’un trouble oppositionnel avec provocation permet-elle de prédire l’abus de substances ?


Les auteurs ont mené une expérience pour tester cette idée. Ils ont constaté que les enfants qui présentaient un trouble oppositionnel avec provocation obtenaient des scores plus élevés que ceux qui n’en présentaient pas sur deux échelles : une pour la symptomatologie du TDAH et une autre évaluant les comportements d’alcoolisation des adolescents (Pingault et al., 2013).

Echec scolaire chez l’enfant

Qu’est-ce qu’un échec scolaire et pourquoi les difficultés de votre enfant à l’école ?

Quelles en sont les causes, les origines du problème. Un échec scolaire peut être mesuré par des notes très inférieures à la moyenne de la clsse ; si elles sont très basses sur cette échelle – cela peut signifier qu’il/elle a échoué à l’école. Les origines peuvent être les suivantes :


  • Malheureusement, votre enfant peut être désavantagé sur le plan scolaire parce qu’il souffre d’un trouble de l’apprentissage non diagnostiqué (dyslexie). Les difficultés causées par ce trouble lui rendent la vie scolaire difficile et l’amènent à prendre du retard très tôt.
  • Votre fils a du mal à comprendre la lecture ; il oublie rapidement des choses même lorsqu’on lui laisse du temps pour les mémoriser ; il a du mal à suivre les étapes correctement – ce sont tous des signes courants de problèmes de type TDAH/ADD combinés (trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité). Si vous remarquez l’un de ces symptômes, veuillez nous contacter immédiatement !
  • L’école est ennuyeuse, et il ne trouve aucun intérêt à ce qu’on lui enseigne. Il se décourage à mesure que sa motivation diminue ; les enseignants ne sont pas gentils et le harcèlent, ce qui alimente des sentiments encore plus négatifs envers l’apprentissage, ce qui provoque la peur et la frustration lorsqu’on essaie de nouvelles choses parce que c’est difficile pour leur enfant qui a déjà été victime d’intimidation dans un autre cadre – maintenant, cela s’est installé en lui encore plus qu’avant, ce qui fait que tout semble beaucoup plus difficile que nécessaire, avec peu de résultats, sans espoir.

En résumé, l’échec scolaire peut avoir differentes sources. Il n’est pas rare de voir des enfants se détourner complètement de l’éducation.

Lorsque cela se produit – et cela arrive plus souvent qu’on ne le pense – les problèmes qui se posent se combinent souvent en une seule problématique: les difficultés à étudier ses leçons ainsi que la procrastination pour faire les devoirs parce que ces tâches ne semblent pas assez stimulantes .

Rien que pour ces raisons, les enseignants devraient travailler en étroite collaboration avec les parents lors des consultations afin que les trois parties aient l’occasion de partager les responsabilités concernant la meilleure façon de traiter les solutions potentielles telles que l’embauche de tuteurs/soutien à la maison si nécessaire.

Les parents font souvent appel à un psychologue lorsque leur enfant a des difficultés en classe. Le Centre Médico Psychologique, ou CMPP, peut s’avérer néfaste tant pour l’élève que pour ses parents car il ne correspond pas toujours à ce qu’ils souhaitent pour eux-mêmes.

Dans les faits, « la plupart des enseignants » renverront les familles des élèves qui ont des difficultés avec le travail scolaire/les problèmes académiques à consulter des psychologues ; cependant, cela peut conduire dans une impasse.

Le CMPP est une psychothérapie bien établie mais controversée pour les consultations mère/enfant. Alors que 90% de la pratique implique la psychanalyse, ces séances se résument souvent à faire sentir à l’un des parents qu’il se sent coupable ou qu’il n’a pas consacré assez de temps au développement de son enfant parce qu’il était trop occupé à travailler à l’extérieur de la maison (ou à faire des choses comme le ménage) pendant les années d’enfance ; nous insistons également dans les cas où l’échec scolaire se produit de réaliser un diagnostic avec un neuropsychologue éducatif spécialisé uniquement dans le diagnostic des troubles de l’apprentissage !

Avec les résultats de ce bilan neuropsychologique (ou test de QI pour enfant), vous pouvez alors analyser clairement toute situation et mettre en place des solutions adaptées à votre enfant. Dans tous les cas, il est indispensable d’impliquer également un membre de son équipe éducative à l’école car un refus de sa part pourrait le conduire ailleurs s’il refuse de coopérer avec nous !

Afin de s’assurer que votre enfant puisse apprendre dans un environnement sûr, il sera nécessaire que vous et l’enseignant/le psychologue scolaire vous rendiez sur son lieu d’enseignement actuel. De cette façon, des ajustements peuvent être faits progressivement sur la façon dont il apprend le mieux par le biais de l’orthophonie ou de la psychomotricité, en fonction de ce dont ils ont besoin spécifiquement de sa part, tout en mettant en place leur Plan d’accompagnement personnalisé (PAP).

Afin d’éviter des revers à l’école, il est important que le trouble d’apprentissage de votre enfant soit reconnu et soutenu le plus tôt possible après un changement.

En cas de transition importante (comme le passage en CP ou en 6ème ou en seconde), vous avez besoin d’un soutien personnalisé pour répondre à ses besoins dans toutes les matières afin d’éviter les lacunes, car cela pourrait l’amener à ne pas progresser.

Un enfant qui ne réussit pas en classe malgré un travail acharné doit s’interroger et être honnête avec lui-même sur les raisons de cet échec.
Il doit se demander : « Qu’est-ce que mes professeurs attendent de moi ? Pourquoi est-ce que j’étudie ? ».

Une fillette surdouee au qi de 162 veut coloniser mars

Des scientifiques ont découvert une fillette mexicaine de 10 ans qui pourrait être plus intelligente qu’Albert Einstein. Cette fille a non seulement dépassé le QI du génie, mais aussi celui d’autres titans de l’esprit comme Stephen Hawking et Thomas Edison.

Des scientifiques mexicains ont récemment mesuré l’intelligence d’Adharasien Sanchez Pérez à l’aide d’un test de QI appelé Mensa Selects – qui classe les personnes en fonction de l’intelligence.

Ces découvertes ne sont pas surprenantes, étant donné que de nombreux chercheurs ont étudié la façon dont le cerveau des enfants, qui se développe à des rythmes différents pendant l’enfance, ce qui pourrait expliquer pourquoi certains enfants mûrissent plus vite que d’autres lorsqu’il s’agit d’apprendre certaines choses, comme les mathématiques à l’âge de 8 ans contre 11 ans

Selon un rapport du Daily Star, la lycéenne a déjà établi ses plans, elle veut devenir astronaute et a l’ambition de coloniser Mars. Elle avait été brimée auparavant mais maintenant qu’elle fait partie de ceux qui ont une grande intelligence, elle peut se passionner pour l’espace ! Le seul problème ? Il faut du temps et de la perseverance, ce qui ne semble pas manquer à cette jeune femme vu l’ambition qu’elle semble avoir à un si jeune âge.


Elle espère y arriver en quelques années, mais jusqu’à présent, elle a réussi non seulement à s’inscrire à ces cours, mais aussi réussir les examens d’entrée.

Le talent de Sanchez a été reconnu lorsqu’elle a commencé à apprendre à lire à seulement trois ans et a utilisé ses compétences extraordinaires pour résoudre des énigmes. Ses capacités incluent également le fait de pouvoir passer le temps pendant la journée lorsqu’elle était scolarisée à la maison en étudiant les éléments du tableau périodique !

Sanchez n’est pas seulement un génie des chiffres, elle peut aussi résoudre des Rubik’s cubes et d’autres puzzles. En fait, à dix ans, Sanchez a appris toute seule la chimie en lisant des livres à ce sujet !